Zozo d’opérette ! (puzzle série 5 -pièces mobiles)

Après « Alerte à Malibu » et « Les Dents de la Mer », une nouvelle saga estivale...

L'Anachronique par Stéphane L' Émerveilleur

4/11/20252 min read

Zozo d’opérette !

(Puzzle série 5 - pièces mobiles)

Après « Alerte à Malibu » et « Les Dents de la Mer », une nouvelle saga estivale est en route vers nos côtes : victorieux d’une traversée de la mer Rouge en direction de la Méditerranée, suivant un passage étroit par le caca Carnaval, Rio de Janeiro… zut — je m’égare au milieu des algues et des cocotiers non binaires, il faut donc lire canal de Suez, comme la banque disparue dans les profondeurs abyssales des marchés financiers —, le poisson-ballon fait son show — ayant un sacré coffre et une ligneuse perche —, car son nom latin met en exergue des prétentions de chasseur bodybuildé et de reproducteur bien armé des lagons au phallus scélérat, puisque le Lagocephalus sceleratuse s’attaque, sans contrefaçon, aux coquillages et à toutes les espèces indigènes, avec un melon à faire pisser de trouille les crevettes prises dans le filet de notre Escape Conventional Game  !

En effet, le zozo d’opérette balance de la tétrodotoxine dans le cornet de ses proies, une pétulante neurotoxine qui court dans le système nerveux, avant la paralysie et une mort probable sans un sauvetage rapide.

Inutile de vouloir le cuisiner en bouillabaisse au risque de friser l’empoisonnement alimentaire et de terminer, comme une statue de sel, à poil sur le carreau, avant d’être massé par un bus de naïades norvégiennes asthmatiques pour relancer la pompe cardiaque enrayée, marquant un arrêt soudain entre les deux poteaux !

Le poisson-ballon se montre dans les angles morts et sa morsure coupe finement deux doigts ; et plus si affinités. Aussi, son arrivée, dans nos piscines hexagonales, menace, selon l’enquête sourcée du Point, la biodiversité et les activités touristiques et halieutiques…

Dès lors, un comédon vital émerge d’une investigation en eaux troubles, parce que ce fringant poiscaille effraie — surtout quand il est frais avec le Jean-Michel dard princier d’un Crabe-Tambour — autant qu’un joueur de football responsable de la chute de l’intelligence sur les aires gazonnées des bouffeurs de pissenlit cramponnés à leur étalon guerrier sur un terrain miné pour la pratique du water-polo à l’air libre — sous l’auto-bannière qui nous mentionne que l’Homme Aime aller droit au But ! — ô gladiateurs marseillais de notre France qui patauge dans la semoule, lors de ses soirées « Coucous Gare Bites » organisées par les cosaques casse-fion, à la mode chemsex de Jean Castes sexes, T-Rex de la contrebande sous billard français à trois boules, au sein de notre gouvernement bananier !

Par conséquent, ce poisson nommé Panda brasse avec les deux faces de la dualité, du noir au blanc — toujours empreint de cet art de l’esquive inhérent à une vieille anguille —, puis, glisse entre mailles de la cotte du chevalier Nemo (aux vers lents picturaux de Monet du plat pays des nymphéas ou bien de Monnaie sonnante d’une pêche miraculeuse !) et sous les doigts gourds de gorets mal léchés de la quête-quête qui pèchent, comme un argent secret, derrière la sacristie : ô silures dont les sagouines moustaches baignent dans l’hydrolat du bénitier sacerdotal !

Ainsi, notre Pac-Man des grands fonds veut continuer sa quête prédatrice à l’image des spectres camouflés dans l’invisible qui nous infectent à longueur de journée avec leurs poisons divers !

Gardons, telles de sveltes sardines, le cap de notre Cœur pour échapper à cette fronde systémique : deux qui la tiennent en joue, Hell qui abdique !