Meuh ! Niais, tu dors ! (Puzzle série 5 - pièces mobiles)

Meuh ! Niais, tu dors !

(Puzzle série 5 -pièces mobiles)

À Marco et Guillermo

Sous les hosannas, les hourras des Culturistes du « Quotient Intellectuel Dopé à l’Hormone de Synthèse » qui ânonnent, telles des nones perchées sur le baobab de la Vérité, leur mystique biblique, le beau Dodo Lard Trumpiste nous sort, de sa manche de MAGAsinier, de mage-cuisinier, un nouvel atout qui dore les arpions de vampires des Carpates devant des moutons l’ayant dans l’os en gelé !

En effet, notre Saint-Père de la Nation Mondiale offre une carte gold à ses riches protégés, dont la cupidité légendaire leur a permis d’atteindre les plus hauts étages de la Pyramide de Ponzi — sans relation directe avec le jeu télévisé pharaonique même si nous sommes dans un Game réservé à des Téléteubés qui claquent la bise à des tyrans zélés, à l’heure de ce Happy end d’un Death Day du héros Fonce-y, ce rocker des années 50 planté dans un Dinner de Cons à la sauce 80.

Ainsi, notre Canard, laquais de Sociétés Secrètes, continue de rouler sur l’or ; et il invite ses petits amis investisseurs des pauvres et de la charité chrétienne artificielle à une Black Party à décorner les bœufs, jusqu’à provoquer la pousse de macabres antennes 5 G d’Abracadabra Aux Vices sur la tête de gueux du coincoin, à la queuleuleu — tous bien baisés par le Bézu Amerloque en raison d’un manque notoire de discernement — sous la perfusion colorée d’une I A nanas, vends tes rétros commissions Satanas !

Afin d’attirer ses bons vieux requins de la faim rance dans son Las Vegas Parano, au milieu d’un bureau rococo ovale à la mode casino déloyal, le Président Donald Bodybuildé leur file un passeport de résident au juste prix de 5 millions de dollars (après « Balance ton Porc ! » Voilà « Amasse ton Or ! »), avec une golden shower à la carte de son palace : une peccadille pour ses potes oligarques russes chevauchés par toute la faune des prédateurs qui pourrissent l’espace terrestre vers l’au-delà de notre dimension.

Notre King Soleil rayonne de mille feux, à l’image de la nappe au Léon (Roi de Bayonne et des Couillons !) Macaron 1er, suivi de sa sensuelle égérie, digne de l’un des Transformers, qui passe de la voile à la vapeur — sans coquille sans pantalon, sans chemise sans salopette de garagiste des Village People —, avec une certaine légèreté, d’une camionnette débâchée hyperbranchée à un poids lourdingue rose bonbon ! Elle en a, sous le capot, la Bridget Stream Fondue de techno et de soirées culinaires mondaines : ces backrooms où se cache l’habit, on the beat, qui ne fait pas le moinillon pelant son oignon, sous des larmes de vierge effarouchée…

Alors que s’élève la digue du Q sur la grève d’un abécédaire américain, un excrément jaunâtre flotte dans l’Océan Eleven Atlantique prêt à laper les côtes de Miami Vice, sous la bienveillance des Anges Dolly Wood, pendant qu’un Stentor Patriotique redore le blason du Luxe — car il sait y faire en la matière —, sur les étoiles mortes des États-Unis, dont la fierté rime avec la Statue de la Liberté qui enchaîne des illuminés au radeau de la Méduse —, puisqu’ils ne voient pas plus loin que le bout du nez de Pinocchio de ce pantin politique, de cette marionnette de l’Escape Fame qui, jadis, gaza la terre sacrée des Native Americans, avec une cruauté sans limite !

Meuh ! Niais, tu dors, ton moulin à paroles bat trop vite, son gourdin hystérique te fait tourner en bourrique !

Que notre Conscience d’Homme nous montre le chemin essentiel, à des lieues des vendeurs de tapis d’une matrice bâtie, par des marchands de sommeil, sur du sable !