Dolls de Drame (Puzzle série 5 - pièces mobiles)

À l’heure du dérèglement climatique, sans relation avec la vaporisation de mets trop lourds dans l’espace aérien (...)

L'Anachronique par Stéphane L' Émerveilleur

4/15/20253 min read

Dolls de Drame

(Puzzle série 5 -pièces mobiles)

À l’heure du dérèglement climatique, sans relation avec la vaporisation de mets trop lourds dans l’espace aérien, mes doigts palmés en éventail, sous une pluie d’astéroïdes prompts à s’éteindre sur des astres morts au pied du Walk of Fame, Dodo Lie Wood, l’ami Péritoine me tapa sur l’épaule, un geste preux qui me sortit d’un songe éveillé dans lequel Cat E.T. Périscope s’envolait avec son club alpin de Pussy Cat Dolls dessinant une étoile à cinq branches dans les nues ; avec Péripatéticienne, le compte était bon, puisque six valait toujours un triple Cheese sur le scrabble des Maîtres du Chaos.

Ce sacré Périple ne s’arrêta pas de sitôt, parce qu’au sein de mes visions d’outre-monde, Cat E.T. — c’est t’y pas un joli pseudonyme extraterrestre — périt avec toutes ses Poupées Monarques, à l’image de drôles de dames emportées par un trou noir du nom de « Blue Origin » loué par le maniaque de la finance, Jefe Baise Pesos, ayant un peu trop balancé la sauce — depuis le propulseur quantique de sa fusée ithyphallique —, lors d’un Voyage, Voyage au-dessus de l’Amazon honni par des drones mutants et des lianes de barbelés voraces, mangeuses de tomates géantes nappées de quetsches up and down !

Soudain, je sentis une secousse tellurique me parcourir l’échine, un courant électrique qui ressemblait aux agitations du rideau rouge d’un théâtre de guignol sur les planches duquel le groupe Métal Inca — planté au sommet d’un Muxu (baiser en langue orientale basque) Pis chou miniature — tenait six figurines d’un rituel vaudou, sous les mirettes de veaux doux à face d’hommes, de bipèdes bêtas transgenres à cheval sur une navette provençale qui nageait, sous le nez d’une fleur d’or rangée entre des bears lingots et des gnous gars ; et je rouvris mes calots, l’espace d’un instant, tandis que Péristyle voulait taper dans l’œil de la lune en me montrant le doigt d’un alien — maigre comme un clou de girofle enraciné dans la gencive en béton d’un Vampire qui sirotait un jaune des Carpates Terres !

Permettez-moi, cher public, une petite digression, car je confonds toujours Vlad avec le rappeur Vald qui vient de nous sortir son album « Pandémonium » : une coquinerie satanique qui eût pu séduire ce vieux Tepes, prince de Valachie, notre Apollon né, sans lien direct avec le suppositoire Saturn V de la confrérie VIP du tir aux pigeons de la mission Apollo 11 !

Ainsi, sans ostentation de la chaire, à la vitesse de l’éclair de Torn Lover, je refermai mes quinquets, afin de retrouver Cat E.T. Péril, en sa demeure spectrale, qui jouait à saute-mouton avec ses cinq copines, les lèvres collées — aux carreaux d’une capsule spatiale dans laquelle ces Fame Hell mimaient « Luth et Russes » pour damer le pion de leurs frères galactiques, hauts protecteurs des mamelles de la Farce — et le postérieur dirigé, habilement, vers une caméra rotative : tout ce cinéma — digne d’une érection, à l’ail wild shoot, de Stan Laid Cul Briques — dans une ambiance bonne enfant à faire flipper les collectionneurs de chambre à air sexualisée  et les receleurs d’images retouchées par un logiciel prolo graphique, bas de Game, à la gomme.

Alors, mon rêve, étrange et désespérant, fut stoppé par la énième tirade de mon camarade Périlleux, lequel me sortit de ma crise somnambulique, de mon apesanteur lycanthropique, en sifflant à mes oreilles radiophoniques — dressées, comme l’antenne d’Arecibo, vers les cieux apocalyptiques — une mélodie pipotée dont la source provenait d’un Contact lointain avec l’acteur des studios NAZIA, Tomme Mât Pâtes Steak, un vrai charolais phrygien, frétillant bouffeur de pasta à la java niaise, et l’astrologue amateur, Jokari Faust Hair, à la perruque laquée, en mode Hell Vice Presse Lait, pour singer le plumage d’un canard cosmique au parfum proche d’un cabinet de curiosités.

Merci à Cat E.T. Périnée et son crew « Ailes Angels » pour cette odyssée mythologique, cette histoire d’Occultisme déjà prête à vider la bassine de ma cousine, Bécassine, souffrant de fuites urinaires  !