Débranche tout ! Revenons à Nout ! (Puzzle série 5 -pièces mobiles)

Débranche tout, débranche tout, revenons à Knout (...)

L'Anachronique par Stéphane L' Émerveilleur

4/30/20253 min read

Débranche tout ! Revenons à Nout !

(Puzzle série 5 -pièces mobiles)

Débranche tout, débranche tout, revenons à Knout — ce fouet armé de plusieurs lanières qui se terminent par des crochets ou bien des boules métalliques — afin d’attendrir la chair tendue du mouton tuméfié, ou bien Nout, en référence à la déesse égyptienne du firmament, matriarche des astres — ô rituels si chers à ces loges gourmandes qui tapent dans la lune et le pot de confiture avec le soleil dans l’œil !

Mais quel désastre quand les programmateurs du Jeu de Sims coupent, après avoir annoncé la couleur, sous la forme d’un Rébus Symbolique — trente-trois jours avant d’appuyer sur off —, en mode Hot Spring et douche froide de l’Espagne au Portugal, en passant par le sud de la France, jusqu’au Groenland ! C’est un Escape Carnival Game entre le chaud lapin et le morfondu marcassin : si je t’attrape, dans le noir, mon p’tit gueux, moi, le satrape, je te brûle sur mon barbecue psychotonique.

Cependant, au-delà d’une cyberattaque martelée par les médias mainstream, afin de noyer le poisson, il demeure vital de vous révéler ce qui s’est vraiment déroulé, puisque j’ai pu observer une migration bien fantastique à l’aide de mes binocles subtils.

Je vous autorise à une pause pipi rapide, avant le lever de rideau, plissé pareil à un faux drapeau de la croix rouge sur un damier maçonnique !

Accrochez-vous à votre siège, car cela risque de vous secouer les miches à la mâle façon d’un grand huit de l’Ouroboros, à 88 mètres au-dessus du plancher des vaches à lait !

Ainsi, les apprentis sorciers, employés par des laboratoires secrets souterrains, toujours friands d’expériences croustillantes, se font une joie de terroriser les masses serviles habitées par une compassion religieuse, une componction nouillageuse à la sauce Electrica Salsa échappée, en douce de l’aigre fente d’une soupière volante dirigée par le cerveau d’emmental de Galactiques : ces hauts fans de la Suisse et des remontées entropiques au pied du démon Cerf Vain (sans relation avec mon bel ami boisé qui, avec sa poésie consciente, illustre mon espace créateur) bourré à cause d’un abus de vin chaud et de la sanguine décoction des messes catholiques anonymes, dont les membres séculaires portent la cagoule et l’ostensoir, il n’y a plus d’espoir, selon le père John Dee alité !

Cette équipée de gais plaisantins a donc relâché sur la Terre, à l’image de golems des temps anciens, une horde de Kaiju (pousse l’ananas et mouds le Kawa), ces créatures géantes japonisantes qui ont su singer une harde de lapins nains, avant de bouffer tous les câbles des pylônes électriques des pays susnommés, et même les hachoirs d’éoliennes les ayant provoqués, comme, jadis, ces moulins ventripotents, sous le tarin d’un Donut Qui Chuchote à l’oreille de Croisés, nés sous X, de reptiles ronchons, de bonobos bambochards et de charmants chevaux de Troie !

Avec un large sourire de Joker à vos lèvres vultueuses, vous me rétorquerez que cette histoire ressemble à un film de série Z, à une production de zozos zombifiés poursuivis par une chambre à air titanesque, assez similaire à un beau boudin antillais, désirant tout écraser sur son passage, jusqu’à l’éruption volcanique de Sonic, le hérisson magique, qui dégonfle cette panse grotesque grâce à l’envoi de sphères, puantes et piquantes, vers son sordide ennemi — une cabale chevaleresque identique à la stratégie d’un Sangoku, non vacciné, animé par son feu conscient prompt à calciner la Bête bleue pachydermique d’une station de lavage, sous le contrôle d’un réseau de harpistes itinérants, dont le nez paraît proche de la trompe euristique d’un initié de la pyramide archontique, lors d’un black-out astral cité en amont, au sobriquet de Mars Selles Amon, sans vouloir en Rajouter !

Désormais, vous pouvez dormir avec les mirettes ouvertes d’une orange chimérique en attendant que l’eau bénite tombe des nues, à la vitesse de l’absinthe Thérèse de lie yeux, afin de noyer ces Gremlins cannibales qui se sont pris, à juste raison, pour Hannibal, durant sa traversée des alpes, à dos d’ailé faon !